La Société d'histoire et d'archéologie du Drouais et du Thimerais (SHADT) a tenu son assemblée générale annuelle samedi après-midi dans les locaux du Cercle laïque.
Comment se porte la SHADT depuis votre désignation en tant que président en février 2019. Après les décès successifs des deux précédents présidents, la question s'est posée du maintien ou non de nos activités. J'étais alors secrétaire dans le bureau, et le conseil d'administration m'a élu avec l'objectif de poursuivre. Bien entendu, nous avons eu à faire face à quelques difficultés, en particulier en termes de réactivation des réseaux et de réactivation des activités afin de susciter de l'intérêt.
Quelles ont été les premières actions de réactivation. Nous avons par exemple repris la prospection aérienne, qui n'avait plus été faite depuis 2011. D'autre part, nous travaillons à être davantage impliqués dans la recherche archéologique, en apportant notre support à des professionnels, en participant aux actions à leurs côtés. Nous avons également organisé une table ronde les 18 et 19 septembre derniers. Là, nous avons été association support dans le projet autour de la Vallée de l'Eure, qui s'inscrit dans une recherche nationale, avec des chercheurs du CNRS.